L’équipe du café littéraire associatif de la porte Montmartre a opté pour des discussions informelles.
Le 18e du mois : Comment avez-vous vécu les attentats au Petit Ney ?
Philippe Durand (Petit Ney) : Une stupéfaction ! Quelque chose d’irréel qui vous tombe dessus… Avec le collectif des associations citoyennes, on a mis des affiches « Je suis Charlie » sur les vitrines du Petit Ney. Au bout d’une semaine, on les a retirées car cela avait moins de sens. Ce que l’on défendait, c’était le droit à la liberté d’expression. Mais avec tout ce qui était véhiculé dans les médias, cela perdait du sens. Au début, c’était une réaction citoyenne. D’ailleurs, on n’a donné aucun mot d’ordre pour la manifestation du dimanche 11 janvier dernier. Après, il fallait se définir par rapport à qui était Charlie... (Lire la suite dans le numéro de mars 2015)
Photo : © Thierry Nectoux
mars 2015 / Le dossier du mois : L’après Charlie, de l’émotion à la réflexion

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Budget participatif : le 18e foisonne d’idées
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Se regrouper dans un collectif pour mieux vivre ensemble
« Ma plume est à vous » cherche un toit
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Musique à l’honneur à l’université populaire du 18e
Magic-Majid : de Dakar à Paris
La table d’Eugène : l’étoile retrouvée de Clignancourt
Entretien avec Alexis Bacquet, curé de la paroisse Saint-Jean-de-Montmartre
Entretien avec Ariel Lellouche, Professeur des écoles et militant associatif de la Goutte d’Or
À la Goutte d’Or : échanger pour co-construire
