Les pigments naturels et roseaux taillés pour la calligraphie jusqu’à la peinture aérosol, la céramique, la gravure, l’acier, le goudron ou la vidéo, de l’art sacré vers des œuvres nouvelles, tout se mêle à l’exposition « Lettres ouvertes, de la calligraphie au street art » de l’Institut des cultures d’Islam. La lettre devient terrain d’expérimentations, aux limites de l’abstraction.
Poésie et esthétique
Parmi les oeuvres d’une vingtaine d’artistes originaires de Palestine, du Liban, d’Algérie, de Tunisie, du Maroc, d’Iran, d’Irak, d’Amérique, du Japon, de France, deux fascinantes encres sur toile pigmentées d’or du plasticien tunisien Nja Mahdaoui accueillent le visiteur. Sur ses vitraux de couleur, Sara Ouhaddou rend indéchiffrable un vers de Khalil Gibran. Une série de gravures en arabe de Rachid Koraïchi reproduit sur un mur blanc des poèmes du militant et poète palestinien Mahmoud Darwich.

Chiens du « Lapin » dans tous leurs états
Les conséquences de la disparition des contrats aidés dans le 18e
À petits pas
Les Poulbots, éternels enfants des rues de Montmartre
La station Château-Rouge sous le bleu de Barthélémy Toguo
Lancer des haches dans le 18e
Les scouts sont de retour
