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décembre 2018 / Culture

Japonisme à la halle Saint-Pierre

par Samuel Cincinnatus

Huit ans après un premier volet, la Halle Saint- Pierre célèbre l’art brut japonais. Un bonheur de créations sans limite.

L’art brut, c’est l’art brut et tout le monde a très bien compris. Pas tout à fait très bien ? Bien sûr, et c’est pour ça qu’on est curieux d’aller y voir » (Dubuffet). Bousculant les codes de l’art occidental, une cin­quantaine de créateurs japonais d’art brut détournant codes et matériaux, proposent des ouvrages singuliers, joyeux et colorés pour la plupart.
Affiché sur la façade de la Halle, le portrait de la Petite Ulala, visage blanc doté de deux minuscules oreilles, yeux cernés de noir (crayon de cou­ leur, pastel, stylo), œuvre de Takeru Aoki, incite à soulever le rideau noir masquant le début de l’exposition. (Lire la suite dans le numéro de décembre 2018)

Dans le même numéro (décembre 2018)